FAQ – Société coopérative photovoltaïque

Vous devez :

• Faire une déclaration préalable à la Mairie si votre kit est fixé à demeure et à plus de 1,8 m du sol
• Remplir une convention d’autoconsommation sans injection (CACSI) sur le site d’ Enedis. Vous trouverez le mode d’emploi dans la page Documents du site Solarcoop
• Appeler votre assureur pour connaitre les conditions d’assurance de votre kit

Il faut compter 7 à 8 ans si vous autoconsommez 60 à 70% de la production, ce qui est tout à fait correct. N’oubliez pas que vos modules et micro-onduleurs sont garantis 25 ans et ont une durée de vie encore meilleure.

Ils partent d’hypothèses fausses ou trop optimistes :

• Des productions qu’on ne trouve que dans le sud de la France,
• Des taux d’autoconsommation de 100% quasi impossibles à atteindre,
• Des hypothèses d’augmentation forte de l’électricité que l’on ne connait pas

… alors que ces kits sont souvent plus chers que les nôtres.

Il est tout à fait possible de cumuler une installation photovoltaïque en vente totale avec un kit en autoconsommation.

Le cumul d’un kit autoconsommation avec une installation photovoltaïque en autoconsommation avec vente de surplus n’est pas autorisé. Si vous possédez un kit Solarcoop et que vous souhaitez passer à une telle installation, vous pouvez le vendre d’occasion  grâce au site de Solarcoop (https://www.solarcoop.fr/kits-de-seconde-main/ )

Il n’y a pas lieu de solliciter une attestation délivrée par le Consuel pour un kit  SOLARCOOP:

  –   Il a été entièrement fabriqué, assemblé et essayé en usine et n’a pas nécessité la création de circuits fixes sur site (pose de conducteurs et/ou leurs protections) : Il  a une puissance installée inférieure ou égale à 3 kVA et n’est pas associé à un dispositif de stockage d’énergie électrique ;

    – Il comporte un dispositif de découplage conforme ;

Il est de votre responsabilité de le raccorder sur un circuit électrique conforme aux prescriptions de sécurité de la NF C15-100 en vigueur (état et section des conducteurs, présence et adéquation des protections de ce circuit)

Oui – il suffit de le débrancher. Le micro-onduleur ne détectera plus la présence du réseau et coupera aussitôt la production.

Seuls les kits paysage sont conçus pour un tel montage. Vous devez les retourner pour réaliser un angle de 60° par rapport à l’horizontale et minimiser le porte-à-faux. Adressez-vous à votre quincailler pour qu’il vous fournisse la fixation adaptée à votre matériau.

– êtes-vous sûr que le feuillard métallique fourni est aussi solide que les crochets K2 pour fixer les barres à la charpente ?

Notre dispositif de fixation par feuillards n’est pas certifié. Toutefois, on propose ce mode de fixation compte tenu de la facilité de pose pour des particuliers et du retour d’expérience qui prouve la bonne tenue mécanique. En effet, cette solution est appliquée depuis plusieurs dizaines d’années pour fixer des capteurs solaires thermiques. Ce dispositif de fixation est utilisé depuis 2 ans par Solarcoop dans plusieurs régions de France avec un environnement climatique différent et aucun incident n’a été signalé par suite de vents violents ou de neige.

Ceci dit, Solarcoop est en mesure de fournir également des crochets K2 pour fixer les rails mais cela nécessite de meuler les tuiles pour le passage des crochets.

L’orientation idéale est le sud – mais si on est au sud-est ou au sud-ouest, on ne perd que 5% de puissance.

Si vous n’avez que des orientations est et ouest possibles, nous recommandons de mettre la moitié de l’installation à l’est et l’autre moitié à l’ouest. Ceci impactera la quantité produite mais sera favorable à l’autoconsommation en raison de l’amplitude horaire plus importante.

La production varie peu entre 30° et 45° par rapport à l’horizontale. Plus l’angle est faible et plus la production d’été sera maximisée au détriment de la production d’hiver. Nous recommandons de suivre la pente du toit pour les kits toiture. Les kits sol paysage ont un angle de 30°. Les kits portrait ont un angle de 45° pour minimiser la surface occupée et assurer le meilleur compromis été/hiver.

La protection foudre n’est pas obligatoire pour les installations photovoltaïques domestiques.

En effet, le guide C15-712-1 précise qu’on peut se passer de parafoudres sur la liaison des panneaux solaires si la longueur des câbles est inférieure à quelques dizaines de mètres.

De plus si le tableau électrique de l’habitation est équipé d’un parafoudre, il protègera l’ensemble des équipements contre les surtensions en provenance du réseau électrique

Par retour d’expérience, très peu de défaillance a été signalée sur les kits Solarcoop en raison des surtensions dues à la foudre.

Ceci dit, on ne peut rien garantir dans le domaine de la protection foudre !

Cette préconisation, qui est indiquée dans le guide C15-712, s’impose lorsque la tension des panneaux en circuit ouvert est supérieure à 120Vdc (domaine de la BT). En effet, dans ce cas, pour que le contrôle d’isolement de l’onduleur centralisé puisse être réalisé, la structure métallique doit être mise à la terre avec un conducteur de section 6 mm².

Pour les kits Solarcoop, la tension en circuit ouvert des panneaux solaires est < 60Vdc et il existe une isolation galvanique dans les micro-onduleurs, les règles de protection sont du domaine de la TBT.

La structure et la masse du micro-onduleur sont néanmoins reliées à la terre via le conducteur de protection vert-jaune du câble AC ce qui permet de faire fonctionner le différentiel 30 mA en cas de défaut d’isolement du micro-onduleur de classe I (protection contre les contacts indirects).

Pour rappel,  le guide UTE C15-712-1 de juillet 2013 ne s’applique pas aux kits PV (module photovoltaïque avec micro-onduleur associé) comme indiqué dans son domaine d’application (page 6) :

Les modules a.c (module PV et onduleur associé) ne sont pas pris en compte dans le présent guide. Leur installation est soumise aux règles de la NF C 15-100

Dans une installation triphasée, on injecte sur une seule phase. S’il y a de l’excédent sur cette phase, l’excédent ira sur le réseau, le compteur verra cet excédent et le soustraira aux  consommations des autres phases. Ceci s’applique à toutes les générations de compteurs.

(Si votre installation possède plusieurs onduleurs, vous pouvez aussi choisir d’injecter sur deux ou trois phases)

Les kits sont compatibles avec tous les compteurs électroniques y compris les Linky. Par contre, ils ne sont pas compatibles avec les compteurs électromécaniques qui tourneraient à l’envers quand vous injectez de l’excédent.

Par conséquent, si vous possédez un tel compteur et que vous déclarez un kit, ENEDIS viendra le remplacer par un Linky.

L’énergie excédentaire de la journée peut être également stocker dans une batterie d’accumulateurs et qui pourra être restitué en fin de journée si l’ensoleillement est insuffisant ou durant la nuit.   Cette batterie généralement de faible capacité peut également lisser les pics de consommation, au fil des heures de la journée, entre la production et la consommation.Pour ce type d’application, les accumulateurs au lithium sont plus adaptés que les accumulateurs au plomb compte tenu de leurs caractéristiques (forte capacité en cyclage, absence d’entretien, prix du kWh utile,..)

Il est à noter que si la batterie doit également servir à une alimentation de secours en cas de coupure, la capacité de stockage doit être augmentée pour pouvoir assurer une autonomie minimale. 

La présence d’une batterie peut présenter 2 intérêts :

• Augmentation du taux d’autoconsommation
• Alimentation de certains circuits prioritaires en cas de coupure du réseau

Toutefois, la présence de batterie nécessite :

• Une étude spécifique pour dimensionner le système photovoltaïque en fonction du profil de consommation
• Une attestation du Consuel spécifique obligatoire
• Une séparation de circuits électriques prioritaires et non prioritaires
• Une mise en œuvre avec respect des exigences de la norme XP 712-3 en matière de sécurité notamment pour les batteries Li-ion
• Un investissement élevé qui n’est pas encore rentable
• Un renouvellement de la batterie à prévoir tous les 10 ans. 

Pour ces différentes raisons, Solarcoop ne propose pas actuellement de kits PV avec batterie et propose d’attendre encore quelques mois pour utiliser le véhicule électrique comme solution de stockage. En effet, avec le développement de la mobilité électrique, il sera possible très prochainement de charger sa voiture électrique en journée grâce à l’énergie solaire et d’alimenter son habitation en soirée en utilisant une faible partie de l’énergie stockée dans la batterie (Vehicule to Home). Cela éviterait de disposer de 2 batteries au lithium (1 pour l’habitation et 1 pour le véhicule) qui n’est pas économiquement et écologiquement pertinent dans le contexte de la rareté des ressources naturelles. 

Ils sont de 4 à 6 semaines. Mais si vous passez par une commande groupée, le délai court à partir de la fin de la commande groupée.

Il est compatible avec les ballons comportant une résistance et un thermostat mécanique. Il n’est pas compatible avec les ballons comportant une carte électronique (thermodynamiques ou non)

Il se met à côté du tableau électrique. On doit avoir accès au câble qui vient du compteur ainsi qu’au câble d’alimentation du ballon.

Nous recommandons au moins 3 ou 4 panneaux. Moins de panneaux génèreront peu d’excédent et ne permettront pas d’amortir le routeur.

Les installateurs nous ont rejoint car ce sont des gens honnêtes qui en ont marre des agissements de certains qui nuisent à la profession par des prix exagérés, des annonces de performances menteuses et des financements ruineux.

Les installateurs SOLARCOOP :

• Posent du matériel de qualité avec des durées de garantie très longues,
• Ont toutes les qualifications règlementaires,
• Ont une assurance décennale valide,
• Se sont engagés sur des prix maximum.

En outre, ils acceptent des audits de notre part pour vérifier que les promesses faites sont bien tenues.

Oui – l’accompagnement SOLARCOOP est totalement gratuit pour les particuliers. Nous vous demandons juste un geste de solidarité : verser 20 Euros à une association qui lutte contre la précarité énergétique.